Je suis allongée sur mon lit, les
yeux fermés rivés au plafond et je pense.
J’ai perdu cette fièvre glaçante de
l’écriture.
Cette folie douce-amère qui guidait mon stylo ou mes doigts
fragiles.
Je ne sais pas quoi, comment,
pour qui pourquoi faire, pourquoi écrire, pourquoi s’écrire.
Je ne me pose
peut-être pas les bonnes questions, celles qui me permettent d’avancer sur ce
chemin caillouteux de ma vie.
Cette panne est ou sera éphémère, elle fera partie de mes motivations profondes à prendre ne compte quand on décide de réécrire...
Il ne me reste plus que 25 années
de vie et encore dans le meilleur des cas.
A la moindre incartade, elle prend
fin !
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